Les inondations successives de 2017 et de 2019 ont eu l’effet d’un électrochoc qui a permis une prise de conscience des lacunes en matière de prévention des catastrophes naturelles au Québec. Depuis, la cartographie des zones inondables s’est beaucoup raffinée et des plans d’intervention ont été mis en place dans de nombreuses municipalités, mais beaucoup de chemin reste à faire avant de sortir le Québec d’un mode de gestion de crise plutôt au profit d’une saine gestion du risque, signalent des experts.
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